Après s’être rendu en Pologne, en Ukraine et en Roumanie, la MHIGE a trouvé sa raison d’exister en se rendant au Bélarus : profondément touché par la catastrophe de Tchernobyl, le pays se ferme du reste du monde, la politique du gouvernement Loukachenko se durcit, la population se résigne et se désespère… Pour comprendre l’impact de notre mission et la nécessité d’une action à long terme, il suffit de voir les sourires des enfants, des étudiants, des médecins au moment de l’arrivée du convoi : la mission de se réduit pas à une aide matérielle. Continuer à créer des liens durables avec ce peuple, voisin de l’Europe est la seconde priorité de la mission 2005. Les étudiants participants au convoi le savent : notre simple présence dans ce pays fermé et abandonné de tous prouve l’engagement solidaire sans frontières, sans barrières, sans préjugés de la France pour la Biélorussie …