Soutenir et accélérer des travaux sur la définition juridique de « réfugié·e climatique » afin de l’inscrire dans la Convention de Genève

A l’horizon 2050 et selon les estimations du Haut-Commissariat des Nations Unies, 200 à 250 millions de réfugié‧e‧s climatiques seront dans l’incapacité de vivre où il·elle·s veulent. Dans ces conditions, il est nécessaire de prendre en compte ces réfugié‧e‧s en révisant la Convention de Genève4 . Cela permettrait de définir un statut juridique protecteur pour encadrer ces personnes. Dès lors, il·elle·s bénéficieraient des structures et des droits déjà établis en matière de protection des réfugié·e·s et de la prise en considération de l’urgence de leur situation.

Cette proposition peut notamment être portée auprès des eurodéputé·e·s.